Depuis plus de trente ans, Eric Noël aide des multinationales, des institutions financières, des fonds de retraite, des gouvernements et des agences internationales à comprendre les changements politico-économiques et de marchés internationaux, à anticiper leurs défis et à planifier à plus long terme. En étudiant constamment un nouvel environnement mondialisé, interdépendant et changeant, où politique, économie, finance, démographie, technologie, mère-nature et idéologie peuvent converger ou se rivaliser, Eric Noël restructure des données complexes en tendances, scénarios, risques, opportunités et stratégies clairement définies.
Chercheur en macro-changements, géo-économiste et fervent promoteur de la pensée à long terme, Eric Noël a contribué à plusieurs exercices de prospective au Canada, aux États-Unis, en Europe et en Asie. À la suite de présentations et de projets sur le futur du Canada, Eric continue de partager son travail pour stimuler encore plus la réflexion à long terme au sein des organisations canadiennes. Avec ses propres moyens et le soutien de quelques donateurs, il a mis sur pieds le Projet Canada Vers 2030 grâce auquel experts et néophytes peuvent se rencontrer pour identifier et échanger des idées intéressantes.
Eric a travaillé pendant 25 ans au sein de la firme de recherche en affaires internationales et économiques Oxford Analytica. Avant de se joindre à cette société réputée pour la qualité de ses recherches et contenus, il avait été analyste et économiste pour des clients investis au Canada, en Europe et en Asie. Il a aussi été Executive Fellow, à la School of Public Policy de l’Université de Calgary, expert-invité, IESE Business School, et juge et parrain à la fondation XPrize. Il a collaboré à l’émission Capital-Actions de RDI pendant dix ans. Il publie un blogue sur le site du journal Les Affaires.
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7 septembre 2017 – Montréal






Forcé par les révolutions technologiques, les avancées scientifiques et l’importance économique des produits et services de haute technologie, Ottawa décidera de centraliser au sein d’une seule agence , Sciences et Technologies Canada, toutes ses politiques en sciences, ses subventions en R&D, sa recherche en santé, en agriculture, en énergie ou en pêcherie, ses tests et certification pharmaceutiques, ses programmes spatiaux et en télécommunications et ses autres efforts de développement de la propriété intellectuelle.




